HSAV - Chapitre 209 - Cet événement romantique est assez excitant, pourquoi ne pas….
Avertissement : contenu adulte (R18)
Après avoir été soudainement pressé contre le lit, Xiao YuAn fut stupéfait. Pendant les dix derniers jours, afin d’amadouer Yan HeQing, Xiao YuAn s’était creusé la tête pour trouver des moyens de flirter avec lui, mais il fut rejeté à chaque fois. Cela fit douter Xiao YuAn de son propre charme.
Ce jour-là, après avoir écouté les conseils de Chen Ge, Xiao YuAn eut l’idée d’une mise en scène de bondage, mais il ne s’attendait pas à ce que Yan HeQing reste indifférent à cette vue.
Quant à la phrase qui fit réagir Yan HeQing de cette manière, c’était quelque chose auquel Xiao YuAn avait soudainement pensé. Mais comme c’était trop honteux, il finit par bégayer chaque mot et ne put même pas terminer ce qu’il voulait dire !
Xiao YuAn sembla soudain réaliser quelque chose. Alors qu’il se hâtait de tenir les épaules de Yan HeQing, il s’assit lentement. Après s’être assis face à face avec Yan HeQing sur le lit, Xiao YuAn lui sourit et tendit une main pour dénouer les vêtements de Yan HeQing. Avec l’autre, il prit la main de Yan HeQing et l’enroula autour de sa taille nue.
Yan HeQing fronça les sourcils : « Ta blessure… »
Xiao YuAn affirma : « Elle va déjà bien. »
Yan HeQing fut catégorique : « Non. »
Xiao YuAn sourit : « Mais Yan-ge, tu es déjà "debout". »
Yan HeQing : « …… »
La main de Xiao YuAn atteignit les vêtements de Yan HeQing avec agitation, taquinant et caressant sa « zone » inférieure.
Yan HeQing prit la main de Xiao YuAn et la poussa loin de lui : « Ta blessure n’est pas encore guérie, je vais m’en occuper moi-même. »
« Un moment comme ça, et tu veux t’en occuper toi-même ?! »
Xiao YuAn serra les dents de colère, et son attitude devint obstinée. Il avait déjà détaché les vêtements de Yan HeQing, alors Xiao YuAn se pencha près du ventre de Yan HeQing et embrassa sa peau. Lorsqu’il fut sur le point d’aller plus loin, Yan HeQing lui tint l’épaule.
Yan HeQing était déjà essoufflé, mais il gardait encore un peu de raison dans son esprit embrumé. En regardant la blessure de Xiao YuAn, il répéta : « Je vais m’en occuper moi-même. »
Xiao YuAn insista : « Je vais le faire. »
Yan HeQing appuya un peu plus fort sur l’épaule de Xiao YuAn et redit : « Non. »
Les yeux de Xiao YuAn souriaient, et il supplia : « Mari, laisse-moi t’aider. »
Le corps de Yan HeQing se raidit soudain, et sa respiration se ralentit. Xiao YuAn profita de son état étourdi et le prit dans sa bouche.
Le bout de sa langue était humide et doux. Alors qu’il avalait difficilement, il écarta soigneusement ses dents et le caressa de ses lèvres jusqu’à ce qu’elles deviennent rouges.
Yan HeQing se figea alors qu’il regardait Xiao YuAn ainsi, avec ses cheveux noirs comme de la soie éparpillés tout autour, ses joues bombées alors qu’il avalait son membre dans sa bouche. Alors que la flamme de la bougie vacillait légèrement, Xiao YuAn leva la tête. Ses yeux étaient légèrement courbés, montrant un charme naturel sans limite et un bonheur gourmand au fond de ses yeux. Pendant qu’il le regardait, il prononça laborieusement un mot.
Même si le mot était vague, Yan HeQing fut parfaitement capable de le reconnaître.
Xiao YuAn l’appela : « Mari. »
Yan HeQing ne put plus le supporter et épingla Xiao YuAn sur le lit. Les premières gorgées profondes mirent en fait Xiao YuAn un peu mal à l’aise, alors il pencha la tête pour se couvrir la bouche et toussa plusieurs fois. Quand il découvrit que Yan HeQing était sur le point de se retenir à nouveau, Xiao YuAn tourna la tête et sourit : « Mari, est-ce que je t’ai mis à l’aise tout à l’heure ? »
Xiao YuAn était déterminé à réussir à le séduire, il mit tout en œuvre pour ce faire.
Alors qu’il regardait l’endurance de Yan HeQing engloutie par son désir, Xiao YuAn enroula ses bras autour du cou de Yan HeQing, le pressant contre lui-même. Puis Xiao YuAn gloussa à son oreille en chuchotant : « Est-ce que tu aimes que je t’appelle comme ça ? Lequel préfères-tu, mari, mari ou mon seigneur ? Veux-tu m’entendre gémir "mari" ? Ou quand je ne peux plus le supporter, veux-tu que je dise "mari, ralentis" ?…. Ah—…. »
(NT : XYA a utilisé 3 façons traditionnelles de se référer à 'mari' :夫君fū jūn (respectueux).相公xiàng gong (intime) Et郎君láng jūn (littéraire))
Yan HeQing bloqua instantanément la bouche de Xiao YuAn et l’embrassa férocement, tout en utilisant ses doigts pour préparer et ouvrir le bas du corps de Xiao YuAn. Lorsque Xiao YuAn sentit qu’il s’essoufflait, il tenta instinctivement d’échapper au baiser, mais soudain, Yan HeQing pénétra en lui.
Puis commença le pilonnage impitoyable. Xiao YuAn leva la tête et se mordit férocement la lèvre inférieure. Le regard perdu, ses mains essayèrent de s’agripper à quelque chose, mais il attrapa accidentellement la soie rouge qui venait d’être placée sur le côté du lit. Yan HeQing prit la soie rouge et recouvrit les yeux et la poitrine nue de Xiao YuAn.
Parce qu’il était recouvert d’une couche de soie rouge, il ne pouvait rien voir clairement. Xiao YuAn se sentit agité pendant un moment, quand soudain, il sentit Yan HeQing lui caresser la poitrine contre la soie rouge. La soie rouge était beaucoup plus rugueuse que la paume d’une main, donc Xiao YuAn ne put s’empêcher de frissonner de partout. Alors qu’il se cambrait, sa respiration devint désordonnée, se resserrant immédiatement autour de Yan HeQing : « Mari, ne-ne fais pas… »
L’homme au-dessus de lui avait pris son premier repas, alors il commença à entrer et sortir du corps de Xiao YuAn plus vigoureusement. Xiao YuAn gémit, mais ensuite il éclata en sanglots, ressentant des démangeaisons et un engourdissement dans tout son corps, jusqu’à ce qu’une sensation incroyable explose dans sa colonne vertébrale. Xiao YuAn demanda alors grâce : « Yan-ge ! D’accord, d’accord ! Je ne te taquinerai plus, je ne t’appellerai plus… je ne t’appellerai plus comme ça ! »
Cependant, au lieu d’avoir une chance de se reposer, ils continuèrent jusqu’à ce que Xiao YuAn s’évanouisse presque.
Quand il revint à lui pour la troisième fois, l’esprit de Xiao YuAn s’était complètement vidé. Alors que son corps rebondissait de haut en bas, ses yeux étaient flous et sa respiration était instable. Une fois que Xiao YuAn eut ajusté sa respiration, il ferma les yeux, essayant de restaurer son énergie.
Cependant, il entendit soudainement Yan HeQing lui dire à l’oreille : « Xiao YuAn, marions-nous. »
Traducteur: Darkia1030
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